Histoires délirantes

Nombre de messages : 308 Age : 36 Date d'inscription : 27/01/2006

Alors ici on pourra poster toutes nos hostoires à dormir debout!!!!!! Je mets un rappel de ma première:

Citation :: Alors j'ai une nouvelle pour vous tous... Je suis encore en vie!!!!! Et j'ai bien l'intention d'y rester car je me suis trouvé une nouvelle vocation. Je vais vous raconter tout en détail. J'ai voulu suivre les ingénieux conseils de Stefan et de Colgate mais je voulais quand même ne pas trop être vue. Donc j'ai été sur le pont de la Versoix, et je pointais le pistolet sur ma tempe (même si ça marche pas toujours). Il faisait tellement froid que je ne sentais plus s'il y avait quelque chose ou pas dans ma main. Donc quand je m'apprêtais à appuyer sur la gâchette, j'ai trouvé qu'il fallait appuyer très profondément, à tel point que je me suis dit que c'était pas normal... Alors j'ai regardé ma main et j'ai constaté que mon pistolet était devenu transparent. On aurait même pu croire qu'il n'y en avait pas. C'était un signe. En effet, à ce moment j'ai entendu un gros cri anormal et j'ai vu un cygne patauger dans la versoix à moitié mort. Apparement, quelqu'un lui avait jeter violament un projectile qui ressemblait tout particulièrement à une arme à feux. Je voyais le cygne divaguer et au bord de l'agonie. Il fallait donc que j'aille secourir cette pauvre bête sans défense. Je décsendais alors et déposais mon pistolet invisible avant de commencer à entrer dans la Versoix. L'eau était gelée mais il fallait avancer car le cygne se laissait petit à petit entraîner par le courant. Quand j'atteignais le cygne, mes yeux s'arrêterent sur l'arme à feu. Quel imbécil aurait pu jeter une arme comme ça dans la nature? Et sur la tête d'un cygne en plus!!!! Il y en a vraiment qui prenne la nature pour un gros container. Et c'est à ce moment là que je décidais qu'il fallait y remédier et créer une assossiation contre les personnes qui jettent des armes à feu dans la nature. mais je voyais le cygne se faire emporter déjà plus loin et il fallait le sauver. Cependant, j'étais curieuse de savoir si le pistolet était chargé, donc j'appuyai sur la gâchette que j'avais enfin trouvé mais rien ne se produisit, j'en déduit que le pistolet n'était pas chargé. J'avais entendu pourtant au même moment comme un gros coup de tonerre qui me fit sursauter. Je maudisais les travaux d'à côté car je pensais qu'il s'agissait de l'une de leur maneuvre. Comme je voyais le cygne aller toujours plus loin, je me décidais à le rejoindre mais je vis du rouge sur ses plumes qu'il n'avait d'ailleurs pas quand je l'avais rejoint la première fois. Cela était clair. Il y avait une personne qu'il avait vidé une bouteille de ketchup sur ce pauvre cygne au moment même où je vérifiais si l'arme était chargée. Je constatais alors que le cygne était inanimé, il devait sûrement dormir. J'en profitais pour le prendre dans mes bras et le sortir de là. En passant devant les ouvriers, ceux-ci me regardaient avec étonnement car ils avaient vu le cygne avec du rouge sur son plumage et moi avec une arme à la main. L'un d'eux me demanda alors si j'avais tué le cygne parce qu'il était atteint de la grippe aviaire et je lui répondis que d'abord je ne savais pas ce qu'était cette gripe aviaire et qu'ensuite je n'avais pas tué le cygne. Il me demanda alors pourquoi le cygne saignait et je lui répondit que ce n'était pas du sang mais du ketchup et que quelqu'un c'était amusé à en vider une bouteille sur la pauvre bête. Ensuite il me demanda pourquoi j'avais une arme à la main et je lui répondis que je l'avais trouvé dans la Versoix à côté su cygne et qu'elle l'avait assomé. Je voyais bien qu'il ne me croyais pas mais je n'y prêtai pas attention car j'avais un cygne à nettoyer. J'arrivai chez moi et déposait le cygne. Je parti chercher des produits nettoyants pour le cygne et en revenant je constatais deux choses. La première était que le cygne aussi était devenu transparent et à cause de ça je n'ai pas pu le trouver. Et la deuxième chose est que mon chat était devenu obèse (plue que maintenant). Je me disais que c'était impossible... Panache qui ne sortait jamais était tombée enceinte!!!!!!! Malheureusement pour le cygne, je ne le retrouvai jamais mais en mémoire de cette pauvre bête, j'ai fondé l'assossiation contre les personnes qui jettent les armes à feu et le ketchup dans la nature. Voilà, si vous voulez y participer, n'hésitez pas... Et merci pour ceux qui auront eu le courage de me lire jusqu'au bout!!!!!!^^

Comment j’ai attrapé la grippe aviaire

Hier, on trouvé un canard infecté de la grippe aviaire à Genève. Quand j’ai appris ça ce matin, ça m’a donné la chaire de poule ! Et comme il faisait dehors un froid de canard, je n’avais vraiment pas envie de sortir de chez moi, mais ma mère m’a forcé à aller à l’école quand même.
A vol d’oiseau, ce n’est vraiment pas loin, mais j’ai justement fait plein de détours pour m’y rendre. Qui peut bien vouloir aller à vol d’oiseau de nos jours ? Par malchance, j’ai croisé une bande de cailles à l’air rapace, alors j’ai pris mes jambes à mon cou et me suis perdue dans un dédale de petites ruelles.

Quand je suis enfin arrivée devant ma salle de classe, j’ai ouvert la porte tout doucement. Le prof, qui était en train de parler de Jan Vogel, s’est retourné et a eu une grimace d’impatience : « Enfin ! ça va faire milan qu’on vous attend ! Gélinotte de vos épreuves » Vous jugez avec quelle prestance j’ai refermer la porte pour m’enfuir le plus loin possible de ce lieu d’infection !

Je me suis retrouvée par hasard devant la porte de mon psychiatre. Je suis montée lui faire un petit coucou, et lui expliquer ce qui m’arrivait. J’ai eu une prise de bec avec lui, car il m’a fait de grands yeux de chouettes en me disant d’arrêter de faire l’autruche, et que j’étais une bécasse !
Au bord de la crise cardiaque, je suis repartie le plus vite possible, je n’aurai jamais du venir ici ! Et pour le prix de la consultation, bonjours le pigeonage ! En plus, même s’il a un corbeau, ses mains sont toujours mouettes ! De plus il s’appelle Martin, non, décidément, je ne veux plus rien avoir à faire avec lui, c’est un être trop dangereux !

Dans la rue, je me suis retrouvée face à face avec un tag de pingouin à l’envers. J’ai poussé un cri et suis tombée à la renverse. Trop, c’est trop ! Mais aussitôt un poulet s’est approché de moi en me faisait cygne de ne pas bouger. J’ai bondit sur mes pieds pour rentrer chez moi, la rue c’est bien trop dangereux pour une personne aussi sensible que moi !

Le cœur battant, je suis rentrée chez moi. Ma mère, qui avait préparé un poulet rôti, m’a volé dans les plumes parce que j’avais un appétit de moineau !
Heureusement, elle est partie faire des courses l’après-midi et j’ai pu m’occuper de la maison. Armée d’un masque à gaz et de gants stériles, j’ai jeté mon duvet en plumes par la fenêtre. On ne sait jamais. J’ai aussi balancé mon pauvre petit canard en plastique jaune avec qui je prenais toujours mon bain. Ça m’a fendu le cœur mais c’était nécessaire. Je me suis aussi débraser des plumes pour écrire et des cartouches d’encre, ainsi que les chemises vertes de mon père. Par les temps qui courent, on ne peut vraiment pas garder un col vert chez soi !

J’ai continué la désinfection en brûlant le bottin de téléphone. Il y a tellement de gens qui ont un nom à risque ! Roitelet, Loiseau, Martin, Pluvier, etc
Ce fut une bonne chose de faite !

Mais je viens de remarquer que je l’ai quand même attrapée, cette saleté de grippe aviaire.
Je viens de passer une demi heure aux toilettes sans penser à enlever le canard WC.
Ça, ça ne pardonne pas…

ACTUALITE - Urgence : Mesures de précautions indispensables en raison du risque de grippe Aviaire

Les vêtements "pied de poule" ou "pied de coq" sont désormais interdits pour une durée indéterminée.

De même, pour éviter toute mise en quarantaine, il est souhaitable de ne plus appeler ses proches "ma poule" "ma poulette"ou "mon poussin", "mon canard", "mon petit oiseau des îles", "mon petit Oiseau de paradis", "ma colombe" ou de "roucouler" avec votre "petite Caille".

Ne traitez plus ceux qui vous agacent de "petite dinde", "jeune coq", "oie blanche", "drôle d'oiseau", "perruche" et "perroquet", ni de "chapon" ou de "grue", ni ceux qui se font avoir de "pigeon" ou de "dindon de la farce", ni les étourdis "d'étourneaux" ou de "tête de linotte".

Les coiffures en "crête de coq" sont interdites, de même que les teintures "aile de corbeau", et vous ne devez plus "vous pavaner comme un paon" ni faire la « bouche en cul de poule ».

Vous ne devrez pas "monter sur vos ergots" ni vous "prendre de bec" avec les autres, comme il est interdit de "se voler dans les plumes".

Il n'est pas non plus conseillé de jeter des oeufs à ceux qui chantent faux, d'applaudir celles qui "chantent comme un "rossignol" ou de vous montrer "gai comme un pinson".

Ceux qui voudront crier victoire sont priés de ne plus pousser de "cocorico".

Les "poulets" resteront dans leurs casernes et leurs commissariats et n'essaieront pas d'attraper les "pies voleuses".

Les "crânes d'oeuf" sont assignés à résidence dans leurs bureaux climatisés.

Par mesure de précaution, les autres « noms d'oiseaux sont également prohibés.

Bien que le « coucou » ne soit pas un oiseau migrateur, vous êtes priés de ne plus utiliser ce mot pour vous saluer.

Et si la température descend trop, couvrez-vous pour éviter d'attraper la «chair de poule» et évitez d'avoir un «appétit d'oiseau».

Mais rien ne vous interdit de prendre votre «plume» pour compléter cet avis à la population et de le faire suivre, sans faire appel aux «Pigeons voyageurs», à tous vos amis !

(humour.com)

Le mien c'est moi qui l'ait écrit au moins!!!^^
mdr

Et puis le coucou EST un oiseau migrateur!!
Laughing

Nombre de messages : 308 Age : 36 Date d'inscription : 27/01/2006

Pourquoi je veux porter plainte contre mon dentiste..

J'avais neuf ans quand je suis allée chez le dentiste pour la première fois. J'y allais parce que j'avais une dent qui bougeait beaucoup et qui allait bientôt tomber. J'avais trop peur de l'arracher donc j'ai voulu de plein gré aller chez le dentiste pour qu'il me l'enlève d'une manière plus douce, à savoir sans douleur.

En arrivant chez le dentiste, je constatai avec horreur à quel point l'atmosphère était sombre, je m'annonçai à la secrétaire qui me dit sèchement d'aller m'asseoir dans la salle d'attente. En y entrant, j'y aperçu beaucoup de personnes qui tremblaient dans leur sièges et je ne comprenais pas pourquoi. Il y avait même des petits enfants qui pleuraient. Quand je m’assis, je compris car au même moment j’entendis des cris abominable, comme si on agressait quelqu’un.

Chaque enfant passa chacun son tour et tremblait jusqu’au dernier moment. Cette ambiance ne me fit pas penser à regarder ce que devenaient les gens qui sortaient de la fameuse salle dite maudite… En effet, on racontait que les patients n’en revenaient jamais ou plutôt n’en revenaient que très amochés. C’est les bruits qui couraient dans la salle d’attente mais dont j’essayais de faire abstraction de manière à ne pas être terrorisée à l’heure H.

Mon tour arriva enfin, et je dû me lever avec courage et bravoure. Comment surmonter cette crainte ??? Je n’en avais aucune idée, alors c’est ainsi que je rentrai dans la fameuse salle du tortureur en série. Je ne pu m’empêcher de trembler lorsque j’aperçu une silhouette blanche tournée vers la fenêtre avec une sorte d’outil à crochet à la main. Une voix provenant de la silhouette me demanda de m’asseoir sur le fauteuil qui se trouvait au milieu de la salle. De peur d’être punie si je désobéissais, j’exécutai l’ordre donné et m’assis.

C’est là que le dentiste se tourna vers moi et je vis étonnamment que son visage était amical. Cela me remis un peu plus en confiance. Mais je devins encore plus confiante lorsqu’il me demanda des renseignements comme par exemple mon âge, où j’habitais, etc.

Ensuite il commença à me poser des questions plus indiscrètes encore… Par exemple mon numéro de téléphone ou encore mon assurance maladie. Je commençais à me poser des questions.

Il en vînt enfin à ma dent qui bougeait et il s’approcha de moi avec un mouchoir. Il le mit autour de ma dent et l’arracha d’un coup. J’aurais espéré quelque chose de plus doux mais cela me fit mal que pendant l’espace d’une seconde. Ensuite il me demanda de me rincer la bouche avec un liquide rose qui se trouvait à côté de moi, ce que je fis.

Mais il arriva une chose à laquelle je n’aurais jamais osé m’attendre… Il me demanda si je voulais des bonbons… Ma mère m’a toujours dit de me méfier des hommes qui me proposaient des bonbons alors je pris mes jambes à mon coup en criant que le dentiste était un P.D. Je sortis de l’immeuble toujours en courant sous les yeux des passants qui me regardaient avec curiosité.